Les trois tours de Saint-Trond
Saint-Trond est également connue comme la ville aux trois tours. Lors de la préparation de notre visite au Beffroi de Saint-Trond et pendant la visite, nous avons régulièrement rencontré cette phrase. La curiosité a donc été piquée. En entrant sur la Grand Place de Saint-Trond, nous avons dû faire preuve d’une grande vigilance. Aujourd’hui, la troisième tour n’a plus de flèche mais une plate-forme qui offre une vue sur la ville.
Catastrophe majeure en 1975
L’image a été considérablement altérée par un incendie majeur dans la tour de l’abbaye et l’internat du séminaire le 9 décembre 1975. Une véritable dévastation dans laquelle il est miraculeux qu’il n’y ait pas eu beaucoup de victimes. L’église abbatiale n’a jamais été reconstruite et la cause de l’incendie n’a jamais été identifiée. Comme indiqué, la flèche de la tour de l’abbaye a été remplacée par une plate-forme à laquelle on accède par un escalier ouvert. L’ascension des 196 marches est récompensée par des vues à couper le souffle.
À quoi ressemblait-il avant l’incendie ?
Par chance, nous avons trouvé le livre « Les villes flamandes » contenant la photo ci-dessus. Le clocher de Saint-Trond y est encore magnifiquement flanqué de la tour de l’église abbatiale et de la tour de l’église Notre-Dame. Une belle photo prise en 1948 par le photographe Cas Oorthuys #1.
Monuments de l’autonomie urbaine
Les beffrois flamands sont d’ailleurs qualifiés de « monuments de l’autonomie urbaine » dans le livre. Une belle indication très lapidaire. Le beffroi de Saint-Trond, ainsi que ceux de Meenen et de Veurne, sont classés parmi les trois plus importants beffrois du XVIIe siècle à l’architecture traditionnelle, construits dans le style dit « na-gothique ».
#1 Les villes flamandes, Editions Contact, Amsterdam – Anvers
Eric Cornelissen
Wanneer het was is niet meer bekend maar tijdens een editie van de Gentse Feesten ontstond de interesse in de geschiedenis en de betekenis van Belforts. Met een vette knipoog naar Reinhold Messner die als eerste de veertien hoogste toppen van de wereld beklom moest iemand maar eens de eerste zijn die alle belforten van de Lage Landen gaat beklimmen! Pas later werd duidelijk dat het er geen 14 maar 56 zijn. Die Messner had het maar makkelijk.